Un service innovant au profit d'une économie verte.

AVEC


vous agissez au profit

d’une économie circulaire de la matière organique.

cyclalys et ses filiales

" Eco-Entreprises " (1) ou " Cleantech "

produisent des énergies renouvelables
à partir d’une biotechnologie (la méthanisation)
ayant une valeur ajoutée environnementale :
préservation des ressources naturelles,
enrichissement de l’écosystème,
& réduction de l’empreinte écologique.

 

(1) Les éco-entreprises sont
« toutes les activités qui produisent des biens et services
visant à mesurer, prévenir, limiter ou corriger
les atteintes à l'environnement
touchant l'eau, l'air ou le sol,
et les problèmes en rapport avec les déchets, le bruit et les écosystèmes »,
définition de l’OCDE
(l’Organisation de Coopération & de Développement Economiques).
http://www.oecd.org/fr/





Vecteurs d'éco-innovations


créent à partir de la biomasse un nouveau substrat agronomique
& des bioénergies nouvelles, alternatives aux énergies fossiles ;
Cyclalys & ses Filiales s’inscrivent dans un contexte d’innovation industrielle :
elles innovent, créent richesse & emplois.






Eco-responsables (2),


en produisant des énergies renouvelables à partir de la biomasse,
s’inscrivent dans une stratégie de transition écologique,
une démarche de développement durable.

 

 

L'économie circulaire dans le groupe CYCLALYS en Normandie



Accélérateurs d’une Bio-économie




économisent des ressources naturelles
en valorisant la fraction organique
des déchets agricoles, agroalimentaires ou des collectivités,
productive d’énergies vertes.





« Eco-entreprise »
Proactive dans la création d’un nouveau modèle
économique, écologique & éthique.

 

 

 

(2)
«  Article L541-1
Modifié par LOI n° 2015-992 du 17 août 2015 - art. 70 (V)
Modifié par LOI n°2015-992 du 17 août 2015 - art. 87


Augmenter la quantité de déchets faisant l'objet d'une valorisation sous forme de matière,
notamment organique, en orientant vers ces filières de valorisation, respectivement,
55 % en 2020 et 65 % en 2025 des déchets non dangereux non inertes, mesurés en masse.

Le service public de gestion des déchets décline localement ces objectifs
pour réduire les quantités d'ordures ménagères résiduelles après valorisation.
A cet effet, il progresse dans le développement du tri à la source des déchets organiques,
jusqu'à sa généralisation pour tous les producteurs de déchets avant 2025,
pour que chaque citoyen ait à sa disposition une solution
lui permettant de ne pas jeter ses biodéchets dans les ordures ménagères résiduelles,
afin que ceux-ci ne soient plus éliminés, mais valorisés.

La collectivité territoriale définit des solutions techniques de compostage de proximité
ou de collecte séparée des biodéchets et un rythme de déploiement adaptés à son territoire.
Le Gouvernement réalise tous les trois ans une étude
pour déterminer la proportion de déchets organiques dans les déchets non dangereux
faisant l'objet d'une valorisation énergétique.

La généralisation du tri à la source des biodéchets,
en orientant ces déchets vers des filières de valorisation matière de qualité,
rend non pertinente la création de nouvelles installations
de tri mécano-biologique d'ordures ménagères résiduelles
n'ayant pas fait l'objet d'un tri à la source des biodéchets,
qui doit donc être évitée et ne fait, en conséquence, plus l'objet d'aides des pouvoirs publics.

Les collectivités territoriales progressent
vers la généralisation d'une tarification incitative en matière de déchets,
avec pour objectif que quinze millions d'habitants soient couverts par cette dernière en 2020
et vingt-cinq millions en 2025 »;